Tyll-biss se décida. Il avait préparé son arsenal de combattant, plus précisemment de chasseur de ténèbres. L'heure était enfin venue, les choses n'avaient que trop trainé. Il comptait bien mettre un terme au déclin de Meltalas, ou dumoins comprendre et tenter d'endiger la menace qui pesait sur la cité utopique. Il allait aller au coeur des choses, et aller de lui même se rendre dface à l'incarnation du pouvoir de Meltalas: le roi de la ville. Les forteresses impénétrables se dressaient devant le jeune guerrier, imperturbables, ne laissant rien paraitre de la faiblesse de ce qu'elles renfermaient. Le jeune homme s'avanca, aussi calme et froid que ces murs, sans en être impressionné, n'ayant pour crainte non sa propre perte, mais celle des êtres lui étant proches. Il avait connu cela et ne le souhaitait à personne. C'était pour ca qu'il venait ici. Il esperait une entrevue avec le roi en personne, lui démontrant sa grandeur morale, et sa volontée d'acier face au mal. Avec un peu de chance, le souverain aurait encore suffisemment de clairvoyance pour comprendre le jeune guerrier. Les souffrances engendrées dans cette cité devait cesser. Rien ni personne ne semblait vouloir en finir. Tyll-biss décida qu'il était temps. Il s'approcha de la grande porte, un pont levis semblait-il. Aucun garde ne se montraient. la porte étant fermée, comme si la forteresse avait abandonné toute responsabilité quant à la direction de Meltalas. Tyll-biss ne s'arrêta pas à ca. Il ferma fortement son poing, et frappa de toutes ses forces sur le bois épais du pond levis, et cela par tris fois. Rien n'y fit, et le son éttoufé produit par l'effort de l'ombre de lumière ne se propageait qu'à peine jusqu'aux propres oreilles de l'invité improvisé. Alors il dégaina son arme, plus solide que les écailles d'un dragon. Il se décala, et se retrouva face aux pierres constituant les rempatrs du château. Il planta sasori entre deux blocs, et s'aida des ses pieds pour grimper. D'une main, il monta son sabre d'un cran, tandis qu'il se maintenait de l'autre. Il répéta l'opération autant de fois que nécéssaire, jusqu'à arriver en bout de course, sur le large chemin de ronde. Peronne. Il arpenta l'allé de pierre sur le côté de laquelle se tenaient les crénaux, protecton standart des châteaux forts. Il atteignit une cahutte d'ou descendait un escalier en direction de la cour intérieure. Mais avant d'y arriver, un soldat royal en sortit. La mine affreuse, un oeil crevé et une large cicatrice lui barrant le visage, de l'arcade jusqu'à la joue, l'homme paraissait être un solide guerrier. Dans des mots sortis d'une gorge d'homme mur ayant connu maintes expérieunces, le soldat annonca, sans crier gare :
-Nous t'attendions, Tyll-biss...